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Mythologies

  • Mythologie Greque BELIER-MARS

    Bélier

    Mars

    Extrait Wikipédia

    Mythe 

    Arès est l'un des trois (ou quatre, suivant la version,) enfants de Zeus et d'Héra ; il appartient au panthéon des douze grands dieux de l'Olympe. Cependant, sa place dans le mythe est relativement limitée. Il apparaît principalement dans des récits de guerre ou de combats, au premier chef de la guerre de Troie, où il se range aux côtés des Troyens, sans raison particulière — on le voit d'ailleurs assister également des Achéens1. Comme les autres dieux, il exhorte son camp sous diverses apparences, notamment celle d'Acamas2, et accompagne les héros sur le champ de bataille3. Toutefois, il est le seul à prendre directement part au combat et on le voit par exemple ôter son armure au défunt Périphas4.

    Sa force aveugle n'en fait pas un combattant invincible. Il n'est pas de taille contre sa demi-sœur Athéna, qui l'assomme d'un coup de pierre5 et doit même s'avouer vaincu face à Diomède, un simple mortel, certes inspiré par Athéna6. Hors du cycle troyen, il est vaincu deux fois par Héraclès7L'Iliade relate également que les Aloades l'enferment pendant treize mois dans une jarre de bronze8. Selon le scholiaste9, c'est pour avoir causé la mort d'Adonis, placé sous la charge des Aloades. Il est délivré, à bout de forces, par Hermès. Il s'agit probablement de l'explication étiologique d'un festival survenant tous les 13 mois, durant lequel toutes sortes de licences étaient permises10.

    Selon Euripide11 et Hellanicos12, quand Halirrhotios, fils de Poséidon, viole Alcippe — fille qu'il a avec Aglaure, fille deCécrops —, il le tue. Pour ce meurtre, Arès est traduit devant le tribunal des dieux olympiens, sur la colline qui prend son nom (cf. Aréopage). Selon Euripide, il est acquitté. D'après Panyasis13 cependant, il semble qu'Arès doive servir parmi les mortels, sans doute pour prix de ce meurtre.

    Amours et postérité

    Présentés dans l'Iliade comme purement fraternels, les rapports d'Arès et d'Aphrodite deviennent dans l'Odyssée14 à la fois amoureux et adultères, puisque la déesse de l'amour y est mariée à Héphaïstos— celui-ci étant l'époux d'une dénommée Charis dans l’Iliade. Encore une fois, Arès est tourné en ridicule : dénoncés par Hélios, le soleil, les amoureux tombent dans le piège du mari trompé qui les capture dans un filet et les exhibe aux dieux hilares. Honteux, Arès part se réfugier en Thrace.

    Chez Hésiode15 et les poètes postérieurs16, Arès et Aphrodite sont présentés comme un couple légitime. Aphrodite donne à Arès trois enfants : DéimosPhobos et Harmonie, épouse de Cadmos, le fondateur de Thèbes. La paternité d'Éros et Antérosapparaît pour la première fois chez le poète lyrique Simonide et paraît lui être attribuée plutôt par commodité. Il est aussi vu comme père de Pathos (la passion) et de Himéros (le désir).

    Ses autres enfants sont souvent des criminels ou des fous :

    Dieu de la guerre

    de remArès est le dieu de la guerre, de la brutalité et de la destruction. Il va au combat accompagné de sa sœur Éris (la Discorde), ses fils Déimos (la Terreur) et Phobos, ainsi que d'Ényo, déesse des batailles. Lui-même est souvent appelé Ἐνυάλιος /Enyalios, « le furieux ». Traditionnellement, les Grecs interprètent son nom comme un dérivé du mot « tueur », ἀναίρης / anaïrês17. Ses épithètes laissent peu de doute sur sa personnalité : « insatiable de guerre, assailleur parts, destructeur de cités, pourfendeur de boucliers, meurtrier, buveur de sang, poécorche le Géant Pallas. Le bouclier d'Achille représente les deux dieux sur un pied d'égalité, « tous deux en or et d'or vêtus, beaux et grands avec leurs armes, comme des dieux19. » De même, le plus court des hymnes homériques qui lui est consacré évoque « la terrible déesse qui s'intéresse, avec Arès, aux travaux de la guerre, au pillage des villes et aux clameurs guerrières20. » Néanmoins, les deux dieux se distinguent en ce qu'Athéna peut abandonner son rôle guerrier pour un autre, alors qu'Arès se résume à être un dieu de la guerre21.

    Arès est haï des autres dieux, en particulier Zeus, lequel lui déclare dans l’Iliade :

    « Je te hais plus qu'aucun des dieux qui vivent sur l'Olympe
    Car tu ne rêves que discordes, guerres et combats22. »

    Héra, sa mère, ne l'apprécie guère plus, dépitée qu'elle est de le voir prendre parti pour les Troyens pendant la guerre de Troie. Elle déclare pareillement à son sujet :

    « Zeus Père, n'es-tu pas outré des sévices d'Arès ?rteur de dépouilles, fléau des hommes18. »

    Arès partage son domaine d'intervention avec Athéna. On présente souvent celui-ci comme l'incarnation de l'aspect sauvage, brutal et désordonné du combat, Athéna représentant l'ordre de la bataille entre peuples civilisés. Cependant, Athéna peut elle aussi se montrer brutale et sans pitié, par exemple lorsqu'elle 

    Combien de braves Achéens n'a-t-il pas fait périr
    à tort et à travers ! J'en suis navrée, et cependant
    Aphrodite et Apollon à l'arc d'argent sont tout heureux
    d'avoir lâché ce fou qui ne connaît aucune loi23. »

    Seule Aphrodite témoigne de l'affection à son « bon frère »24 qui selon d'autres légendes est également son amant. Dans son Œdipe à ColoneSophocle peut ainsi le proclamer « le dieu à qui tout honneur est refusé parmi les dieux »25.

    Son nom désigne toute forme de mort violente, et plus particulièrement la peste. La guerre est surnommée « danse d'Arès » dans les épopées. Les Grecs voient en lui le « dieu des larmes »26. Seul l’Hymne homérique qui lui est consacré, sans doute tardif et d'inspiration orphique, le montre sous un jour bienveillant et le nomme :

    « Cœur hardi, porteur de bouclier sauveur des cités, coiffé d'airain,
    Aux mains robustes, infatigable, fort par la lance, rempart de l'Olympe,
    Père de la Victoire, heureuse conclusion des guerres, auxiliaire de Thémis ;
    Maître absolu de l'adversaire, guide des hommes les plus justes27. »

  • Mythologie Romaine BELIER-MARS

    Belier

    Athamas, le roi de Béotie, une région centrale de la Grèce, avait épousé une princesse d’origine divine, la très belle Néphélé. De leur amour naquirent deux enfants, un garçon nommé Phrixos puis une fille nommée Hellé. Mais sur ordre de Zeus, toujours jaloux, elle du regagner l’Olympe. 

    Le roi Athamas se remaria alors avec une femme Ino. Celle-ci était très jalouse et avait un caractère épouvantable. Dès qu’elle mit au monde ses enfants, elle décida de tuer les deux ainés du premier mariage du roi. Pour ce faire elle fit griller les semences des greniers royaux, ce qui les rendit stériles. Les récoltes furent donc une catastrophe et la famine arriva. On décida donc de consulter l’oracle, pour savoir ce que voulaient les Dieux. Ino soudoya alors l’oracle pour que celui-ci déclare, que tant qu’on n’aura pas sacrifié les 2 premiers enfants royaux, Apollon laissera la terre stérile. 

    Le Roi Athamas eu beaucoup de chagrin, mais de caractère faible, il céda. Alors que le prêtre allait sacrifier les 2 enfants, un brouillard épais se leva, Néphélé envoyait le Bélier à la toison d’or sauver ses enfants. Quand le brouillard s’évapora on pu voir le Bélier s’envoler dans les airs avec sur son dos les 2 enfants.
    Le Bélier se dirigea vers l’Asie. La petite fille, ne pu résister et tomba dans la mer, en un lieu appelé depuis Hellespont (aujourd’hui c’est le détroit des Dardanelles). Le petit garçon lui résista de toutes ses forces. Il arriva à bon port, dans une région nommée Colchide, qui était alors au sud du Caucase, où le Roi Aétèz le recueillit et l'éleva à la cour.

    Devenu adulte il épousa la princesse Chalciopée, et pour remercier le roi de lui avoir donné sa fille, il sacrifia le Bélier. Le magnifique Toison d’or du Bélier fut suspendue à un chêne et protégée par un monstrueux serpent. 
    C’est là, que, bien des années après, Jason vint la conquérir. Mais ceci est une autre histoire….


    Mars

    Mars est le plus important des dieux de la guerre honorés par les légions romaines. Son culte connaît deux moments forts, au mois de mars et en octobre, début et fin de la saison guerrière.

    Les Romains avaient nommé le premier moi c'est ainsi que décembre, étymologiquement le dixième mois, est devenu le douzième.

     Extrait de Wikipédia

    Dans la mythologie romaine, Mars est le dieu de la guerre, dieu de première importance dans la Rome antique en tant que père deRomulus et de Remus, fondateur et protecteur de la cité. Mars jouait un rôle équivalent chez d'autres peuples du Latium et au-delà, notamment chez les Sabins, les Samnites et les Osques.s de l'année en son honneur, qui coïncidait avec le retour des beaux jours et la reprise de la guerre après l'hiver. Par la suite, janvier, mois d'élection des magistrats, a été convenu comme commencement de la nouvelle année. Mars est devenu le troisième, et 

    Il fait partie de la triade précapitoline en compagnie de Jupiter etQuirinus.

    Sous l'influence grecque, il est identifié à l'Arès des Grecs, mais le caractère et la dignité de Mars diffèrent de manière fondamentale de celle de son homologue grec, qui est souvent traité avec mépris et effroi dans la littérature grecque1.

    M aussi le dieu responsable de la fertilité des cultures 2, ce qui lui donne une importance toute particulière dans la Rome antique.

    Dieu du printemps car c'est à la fin de l'hiver que commencent les activités guerrières et dieu de la jeunesse parce que c'est elle qui est employée dans les guerres. 

    Mars passe pour le fils de Jupiter et de Junon. Les poètes latins lui donnent cependant une autre origine : jalouse de ce que Jupiter avait mis au mondeMinerve sans sa participation, Junon avait voulu, à son tour, concevoir et engendrer. La déesse Flore lui indiqua une fleur qui croissait dans les campagnes d'Olène en Achaïe, et dont le seul contact produisait ce merveilleux effet. Grâce à cette fleur, elle devint mère de Mars. Elle le fit élever par Priape, de qui il apprit la danse et les autres exercices du corps, préludes de la guerre.

    Il serait l'époux de Bellone, ou son père, et il est le père de Romulus et de Remus. Il a eu (entre autres) une aventure remarquée avec Vénus la femme de Vulcain qui lui donna Harmonia, l'Harmonie, et les jumeaux Phobos, la Crainte, et Deimos, la Terreur, qui accompagnaient leur père sur le champ de bataille. La liaison de Mars et Vénus se termina brusquement selon l'interprétation grecque du mythe d'Arès et Aphrodite.

    Les poètes donnent à Mars plusieurs femmes et plusieurs enfants. Il eut de Vénus deux fils, Deimos et Phobos (la Terreur et la Crainte), et une fille, Hermione ou Harmonie, qui épousa Cadmus. Il eut de Rhéa Sylvia, Romulus et Rémus ; de Thébé, il eut Evadné, femme de Capanée, un des sept chefs thébains ; de Pirène, Cycnus qui, monté sur le cheval Arion, combattit contre Hercule et fut tué par ce héros ; et de Cérès: Arion et Despina. Les anciens habitants de l'Italie donnaient à Mars, pour épouse, Néréine.